Bienvenue sur la page de présentation de l’équipe de Chez mes chats !
Vous allez tout savoir sur cette grande famille féline. 🐱
Découvrez les membres actuels mais aussi tous ceux 🐈🐈⬛ qui m’ont inspirée au fil des années et qui ont permis la création de ce site 😻
L’équipe actuelle de Chez mes chats
Trompette et Poky, membres actifs de l’équipe de Chez mes chats !
Poky
Poky est arrivé chez nous en juin 2019.
C’était un petit chaton tout maigre, atteint de coryza et qui n’était pas complètement sevré.
Sa maman chat l’avait apparemment délaissé. Peut-être était-elle décédée ? En tout cas, elle ne le nourrissait plus.
Il était infesté de parasites mais il a fallu attendre que son poids atteigne 150 g avant de pouvoir le vermifuger.
On ne lui avait pas donné de nom au début car personne ne savait si on allait pouvoir le sauver.
Aujourd’hui, il se porte à merveille et dépasse les 5 kg !
C’est un chat très « élégant » qui aime « ranger » sa queue quand il s’assoit.
Il a tout de même quelques petits problèmes comportementaux dus à sa carence maternelle. Mais le fait que Dina l’ait pris en charge à son arrivée a comblé un peu ses lacunes éducatives.
Trompette
Trompette fait partie de la famille depuis le mois de décembre 2021.
Quand elle est arrivée, elle était un peu perdue. En effet, elle n’était jamais entrée dans une maison.
Trompette avait aussi un problème de sinus et saignait du nez. Elle a donc eu droit à un traitement antibiotique et à des inhalations par fumigation. Maintenant, elle prend un traitement aux plantes pour son confort respiratoire.
Trompette est très mignonne… mais très bizarre aussi 😄. Elle a de toutes petites pattes courtes, une toute petite tête, une queue courte et un peu recourbée au bout… En fait, tout est petit chez Trompette. Sauf les yeux et le bidon !!
Elle est toujours « affamée » et mange jusqu’à qu’elle n’en puisse plus. Ensuite elle essaie « d’enterrer » ce qui reste en poussant des miaulements désespérés. Cette manie devrait normalement lui passer avec le temps.
Son comportement global est également un peu étrange (c’est peut-être pour ça qu’elle s’entend si bien avec Poky 😉). Elle a du mal à comprendre certaines choses et on a parfois l’impression qu’elle n’y voit pas très bien. Mais c’est un petit cœur rempli d’amour 💗. C’est impossible de ne pas l’aimer !
Quand elle est contente, elle étire sa patte en avant.
L’ambiance chez Trompette et Poky
La première semaine a été un peu tendue entre Trompette et Poky. Le petit mâle n’était pas content de la voir s’installer sur son territoire. Mais Trompette a toujours été gentille avec Poky et a continuellement cherché un contact amical avec lui. Les relations se sont donc très vite apaisées.
Aujourd’hui, ils sont inséparables. Ils se toilettent mutuellement, jouent et dorment ensemble. C’est très drôle de les voir s’amuser tous les deux. Il faut dire qu’ils ont presque le même âge. Trompette a sûrement quelques mois de plus que Poky.
Minimoon, membre honoraire de l’équipe de chez mes chats !
Minimoon vient de la SPA.
C’est elle qui nous a choisis. Nous l’avons adoptée en avril 2018, peu de temps après son arrivée au refuge. Elle avait environ 2 ans.
On ne connait pas vraiment son histoire. Elle vivait peut-être enfermée dans un grenier avec d’autres chats avant d’être prise en charge par l’association. Mais on n’en est pas sûr.
Ce qui est certain c’est qu’elle ne connaissait rien et ne savait pas faire grand chose avant d’arriver ici. Elle était très gauche et n’osait pas se risquer sur des « terrains dangereux ». La petite chatte ne savait pas sauter car elle ne parvenait pas à évaluer les hauteurs ou les distances entre deux meubles.
A ce moment là, la maison appartenait à Agate et Dina, alors âgées respectivement de 13 et 10 ans. Minimoon a été tout de suite très bien accueillie par Dina. Un peu moins bien par Agate… qui a finalement décidé de la tolérer. Les deux minettes ont réussi à organiser leur vie commune et tout s’est bien passé.
Cependant, Minimoon est un chat qui a un besoin de liberté énorme. Elle ne supportait pas d’être enfermée et faisait des fugues à répétition. On avait fini par installer une chatière pour qu’elle puisse sortir dans la rue à sa guise. L’été, elle ne rentrait plus que pour manger ou pour nous déposer des cadavres de tarentes. 🙄
Je voyais bien qu’elle était malheureuse et je ne savais plus quoi faire. Et puis, un jour d’octobre 2019, elle a disparu. Je l’ai cherchée partout. Le jour, la nuit, pendant des jours et des jours. Sans résultat.
Mais un soir, au bout d’un mois (29 jours exactement), elle est revenue. Squelettique, chancelante et affamée.
Je ne saurai jamais ce qui lui est arrivé. Mais ce jour là j’ai pris une décision : lui offrir une vie qui lui conviendrait mieux.
Je l’ai d’abord gardée enfermée pendant plus d’un mois pour qu’elle se retape et reprenne du poids et des forces.
Puis quand elle a recommencé à essayer de sortir, je l’ai confiée à ma maman qui habite à la campagne.
Minimoon aujourd’hui
Depuis, Minimoon est heureuse et épanouie. Je la vois très régulièrement et elle est toujours contente de m’accueillir quand j’arrive. La petite chatte malhabile qu’elle était grimpe maintenant aux arbres et chasse les souris toutes les nuits. Elle passe ses journées dans sa maison bien confortablement installée sur un lit ou sur un canapé.
Elle fait toujours partie de l’équipe de Chez mes chats car elle est très choyée et elle teste toutes sortes de produits 😉pour nous faire profiter de son avis. Par contre, le nom de Minimoon ne lui convient plus tout à fait. Aujourd’hui, il faudrait plutôt l’appeler Fatmoon* ou Maximoon !
*fat = gros en anglais
L’ancienne équipe de Chez mes chats
Les membres de l’équipe qui nous ont quittés
Agate
Agate était une magnifique chatte à poils longs née au printemps 2005. C’est un ami qui me l’avait confiée car il l’avait trouvée dans la rue alors qu’elle n’était qu’un bébé. C’était un joli petit chaton avec un regard plein de malice.
Elle était extrêmement intelligente. C’est le premier chat que j’ai « dressé » en me servant de ses aptitudes naturelles. « Assis » ou « donne la patte » étaient des ordres qu’elle comprenait et qu’elle exécutait sans problème… à partir du moment où il y avait quelque chose à manger à la clé !
Agate était un vrai glouton. Elle avalait tout ce qu’on lui donnait et tout ce qu’elle trouvait. Il ne fallait rien laisser trainer car elle avait tendance à voler la nourriture. Pourtant, elle ne manquait de rien et elle était bien dodue ! Elle adorait la soupe de légumes, raffolait des haricots verts et des asperges.
C’était un chat immense avec des pattes énormes. Elle avait une démarche de grand félin : elle posait très précisément une patte devant l’autre en la déroulant vers l’intérieur.
C’était aussi une excellente chasseuse.
Elle n’était pas agressive ou « bagarreuse » mais elle aimait sa tranquillité et il ne fallait pas l’embêter. Celui qui s’y risquait, chat ou chien, se voyait attribuer une correction mémorable.
Ses problèmes
Agate avait un pelage spécial, très fin, qui s’emmêlait facilement. Or, elle détestait se faire peigner. Nous avons donc dû la tondre à plusieurs reprises. La dernière fois, c’est le vétérinaire qui l’avait intégralement rasée sous anesthésie générale…
Agate avait aussi, depuis toute petite, des problèmes urinaires et faisait des cystites à répétition. Elle a donc eu droit toute sa vie à une alimentation médicalisée.
Cela ne l’a malheureusement pas empêchée de développer une grave insuffisance rénale. Agate a été euthanasiée en janvier 2021 à l’âge de 15 ans.
Dina
Dina était le chat le plus gentil du monde !
Nous l’avions adoptée pour qu’elle puisse tenir compagnie à Agate qui se retrouvait seule après le départ d’Arsouille. À ce moment-là, Agate avait 3 ans. Nous étions en 2008.
C’était un chaton minuscule avec de grands yeux tristes et de grandes oreilles. Elle cherchait désespérément le contact avec tous ceux qu’elle croisait. Elle aimait tout le monde. Chats, chiens, humains, vraiment tout le monde. Malheureusement pour elle, ce n’était pas toujours réciproque.
Les débuts avec Agate ont été un peu difficiles. Il a fallu du temps pour que la grosse minette tolère le petit chaton.
Elle a eu aussi quelques déboires avec d’autres chats. Elle était toujours amicale mais ce n’était pas forcément le cas des autres. Heureusement, elle était très agile. C’était un vrai petit ressort. Elle pouvait faire des bonds incroyables et grimper à la cime d’un arbre en quelques secondes. Je n’ai jamais vu un chat capable de la suivre.
Pauvre petite Dina. Elle était adorable. Elle n’avait pas une once de méchanceté ou de mesquinerie. C’était véritablement un amour de chat 😻
Avec moi, c’était un vrai « pot de colle ». Elle me suivait partout. Si je partais à pied de la maison, j’étais obligée de l’enfermer pour ne pas qu’elle vienne.
Ses problèmes
C’était une petite éponge à émotions. Si j’étais stressée, elle l’était aussi. Elle développait alors de l’eczéma et enflait des babines. Ça lui faisait une tête bizarre pendant plusieurs jours 😯
A la mort de Potté, elle avait également fait une réaction impressionnante qui lui avait valu une visite en urgence chez le vétérinaire !
Il faut dire qu’elle était, de toute façon, d’une nature stressée. Elle profitait donc des mêmes croquettes qu’Agate : anti-cystite et anti-stress 😉
Dina nous a quittés le 22 novembre 2021. Nous l’avons faite euthanasier suite à un cancer du poumon. Je pense que c’est à cause de moi et je crois que je ne m’en remettrai jamais… 😢
Potté
Potté vivait dans la rue.
Je pense que ça n’a pas toujours été le cas et qu’il a été abandonné. Il n’était pas identifié mais était stérilisé, sans pour autant que son oreille soit poinçonnée.
C’était en 2009. Il m’attendait tous les soirs au coin de la rue où je vivais à cette époque-là. Quand je rentrais du bureau, je m’arrêtais pour lui faire quelques caresses malgré son apparence et son pelage très sale. Puis il me suivait jusqu’à la maison et s’asseyait devant la porte.
Au début, je lui donnais quelques croquettes sur le trottoir. J’avais déjà Agate et Dina et je savais que, si je m’écoutais, mon appartement se transformerait vite en annexe de la SPA 😄
Mais tous les jours, sans exception, il était là. Et puis un jour, il pleuvait fort. Et je n’ai pas eu le cœur de le laisser dehors. Il est donc entré dans la maison… et n’est jamais reparti. Et quand nous avons déménagé, nous l’avons emmené avec nous bien sûr.
Il était habitué aux humains mais ne savait pas ce qu’était une litière. Il a donc fallu lui apprendre. Mais il a assez vite compris.
Je n’ai pas beaucoup de photos de Potté car il détestait ça… allez savoir pourquoi ! Du coup, il ne fallait pas qu’il voie l’appareil sinon ça lui donnait un côté « film d’horreur » 🤣
C’était déjà un vieux chat quand nous l’avons adopté. Il n’avait presque plus de dents et ses pattes arrière fléchissaient un peu. Mais ça ne l’empêchait pas de chasser comme un pro et de défendre son nouveau territoire comme un diable ! Gare aux intrus qui s’aventuraient un peu trop près 😮
Avec ses deux compagnes à la maison, il était par contre très gentil. Il supportait même sans broncher les coups de patte (sans griffes) qu’Agate lui assénait sur le dessus de la tête lorsqu’ils attendaient leur pitance 😆
Dina, elle, était aux anges. Elle avait enfin un vrai copain qui acceptait le contact. Ils sont vite devenus inséparables. Ils se toilettaient et dormaient ensemble.
Son plus gros problème
Le vieux mâle a été rattrapé par son instinct territorial et bagarreur. En poursuivant d’autres chats, il a été heurté par une voiture. Le conducteur ne s’est même pas arrêté, selon mes voisins qui ont été témoins de la scène 😡.
Quand ils me l’ont ramené à la maison, il était déjà mort. Il s’est éteint dans leurs bras presque tout de suite après l’accident. Il n’était donc pas tout seul mais entouré de gens qu’il connaissait. Cependant je n’étais pas là et je le regrette. Il aura tout de même eu une fin de vie heureuse avec nous. C’était en 2011.
Arsouille
Arsouille était un magnifique chat croisé siamois.
Sa mère était une chatte de gouttière comme Agate et son père était un véritable grand siamois à poils courts et aux yeux très bleus.
Arsouille avait hérité du phénotype de ses deux parents.
Nous l’avons adopté en 2005, peu après Agate à qui nous cherchions un petit compagnon. Il y avait une annonce chez le vétérinaire pour un don de chatons.
Nous avions été « sélectionnés » par les propriétaires des chats qui faisaient très attention aux personnes qui souhaitaient les adopter.
La maman d’Arsouille avait mis bas dans un tas de bois du jardin. Les chatons étaient donc à moitié sauvages. Et le défi était d’en attraper un !
Arsouille était très curieux et nous suivait à distance. Encore une fois, je crois que c’est lui qui nous a choisis…
Nous n’avons pas eu beaucoup de difficultés pour le faire entrer dans la cage de transport. En procédant comme avec un animal sauvage : un couloir improvisé avec de grandes planches qui menait tout droit à l’entrée de la cage. Sans stress superflu et inutile.
Les premiers jours à la maison ont été un peu difficiles pour Arsouille. Il restait caché sous les meubles à longueur de temps. Il passait ses nuits à appeler sa mère…. C’était un crève-cœur 😿
Mais avec de la patience et beaucoup de douceur (et aussi avec l’aide d’Agate qui avait à peu près 5 mois), nous avons pu l’apprivoiser totalement.
Il est vite devenu très câlin ! Mais il est resté craintif toute sa vie. Il ne fallait surtout pas faire de gestes brusques.
Son plus gros problème
Arsouille n’a jamais supporté de rester enfermé ou cloisonné. Il avait besoin d’espace. Une terrasse était pour lui une prison. Quand nous avons dû déménager en ville pour des besoins professionnels nous n’avons pas pu lui infliger cette « punition ».
Le pauvre chat hurlait à la mort comme un chien toutes les nuits. Il a déchiqueté plusieurs de mes livres. En fait, il devenait fou. A la fin de la première semaine, je suis donc retournée passer le week-end à la campagne avec lui, chez mes parents. Ils l’ont finalement gardé avec eux.
C’était un gros matou vraiment gentil qui préférait éviter les conflits. Il s’est toujours bien entendu avec tous les autres chats de sa maison. Y compris Agate, Dina et Potté quand ils venaient passer quelques jours chez lui😺
Arsouille a été euthanasié le 1er mars 2021, peu de temps après Agate. Il souffrait d’une tumeur au cerveau.
L’équipe de Chez mes chats à ses débuts
Les membres plus anciens
Tcheeta
Tcheeta était une toute petite minette un peu étrange.
Elle avait toujours des positions improbables et une démarche assez bizarre, d’où son nom.
Son attitude aussi était particulière. Et elle avait l’air tellement fragile. Tcheeta, c’était un petit être que l’on avait envie de protéger.
Elle est arrivée chez nous en juin 2000.
Une portée de chatons était à donner. Les propriétaires s’étaient installés sur un marché pour les proposer aux gens qui passaient. Tous les enfants voulaient évidemment jouer avec les bébés chats qui passaient de mains en mains.
Il se trouve que je connaissais les propriétaires des chatons. Je m’étais donc arrêtée pour leur dire bonjour, simplement. C’est là que je me suis retrouvée avec cette petite boule de poils dans les bras : « Tiens, celle-là elle est pour toi. C’est la plus petite de la portée. Tu sauras bien t’en occuper. ».
Je me souviens que les enfants présents autour de nous essayaient de me la prendre des mains pour pouvoir la caresser. Ils n’avaient aucune mauvaise intention mais la pauvre petite chatte avait l’air tellement fatiguée de tout ça. Elle tentait de s’accrocher à moi avec ses minuscules griffes.
J’ai donc décidé de la ramener à la maison. À ce moment-là, je vivais chez mes parents (et oui j’étais jeune… 🙄🤫). Je me demandais donc comment j’allais faire pour expliquer la situation.
Il n’y a eu aucun problème avec ma maman et ma sœur, bien au contraire !
Mais je n’osais pas le dire à mon papa… Quand j’ai eu une idée 💡un peu saugrenue ! Dans quelques jours, ce serait la fête des pères. Et si on lui offrait un petit chat 😁
Et voilà comment Tcheeta a fait son entrée dans la famille. Elle aura vécu heureuse et en sécurité pendant plus de 17 ans. Elle a été euthanasiée en août 2017 suite à un cancer de la vessie.
Miki
Miki était un mâle blanc et noir au nez rose.
C’est lui qui est en photo de couverture sur la page d’accueil de Chez mes chats.
Lui aussi était tout petit rikiki quand il arrivé à la maison familiale en octobre 2000. En fait, il était né le 11 septembre 2000. Il n’était donc pas sevré quand nous l’avons adopté.
Le problème venait de sa mère qui ne voulait pas de lui et qui n’avait pas de lait…
Il fallait donc le nourrir au biberon et tenter de l’éduquer. C’est là que j’ai commencé à penser comme un chat, en essayant de « remplacer » sa mère. Ma passion pour les félins était née.
Je me suis beaucoup documentée et je n’ai pas hésité à rencontrer des professionnels pour leur demander conseil. Et oui, à l’époque, on n’avait pas d’ordinateur connecté à la fibre à la maison ! Il fallait donc se débrouiller autrement. Cela dit, je ne regrette pas. C’est beaucoup plus formateur que de lire des infos sur internet. Car on est obligé de s’impliquer !
Ça n’a pas été une mince affaire mais finalement mais je ne m’en suis pas trop mal sortie !
Alors, au début, je ne voulais pas trop m’en occuper. C’était une grosse responsabilité et sa survie en dépendait.
Puis je me suis laissée convaincre par la personne qui l’avait récupéré et qui souhaitait me le donner. « Regarde-le, il est tout petit. Il restera petit tu verras ».
Tu parles ! Miki est devenu immense ! Il pesait près de 7 kg ! Je n’ai jamais vu de chat aussi grand, à part un Main Coon.
A se demander même si ça ne venait pas du lait en poudre que je lui faisais téter quand il était bébé… Je ne sais pas.
Mais Miki a vécu longtemps et sans aucun problème de santé. C’est l’un des rares chats que nous avons eu qui est mort de vieillesse. Il s’est éteint tranquillement chez lui en juillet 2018. Il avait presque 18 ans 🙂
Tomy
Tomy était un gros matou roux et blanc né au printemps 2001.
Il appartenait à des personnes qui n’avaient jamais eu de chat auparavant mais qui possédaient déjà plusieurs chiens. Malheureusement les gros toutous n’ont pas accepté le chaton qui restait donc confiné dans une pièce pour sa sécurité.
Les propriétaires se sont rapidement rendus compte que cette situation n’était supportable pour personne. Ils se sont finalement résignés à chercher une nouvelle famille pour le petit chat.
Tomy est donc arrivé chez nous en août 2001 à l’âge de 4 mois environ.
C’était un chaton plein d’énergie qui n’avait peur de rien. Je lui avais d’ailleurs écrit une petite chanson sur l’air de la Ballade de Davy Crockett. Je ne me souviens plus des paroles mais le refrain disait : « Tomy ! Tomy croquette ! Le chat qui n’a jamais peur ! » 😆
Durant ses premiers mois avec nous, Tomy a été un véritable petit démon 😼
Il n’était apparemment pas habitué aux caresses. Et lorsqu’on tendait la main vers lui, il l’attrapait avec ses griffes et la mordait. Le chaton voulait toujours s’amuser mais il nous faisait mal. Il ne faisait ça qu’avec les humains. Tomy n’avait aucun souci avec ses congénères et se comportait bien avec eux. Il était donc probablement sevré quand il a quitté sa mère. Le problème était exclusivement humain…
On pouvait tout de même le câliner lorsqu’il dormait. Et il a fini par se rendre compte que c’était agréable. Quand il a compris que nous étions de gentils humains, il a définitivement accepté nos caresses !
Parallèlement, il avait plein de jouets et de griffoirs pour qu’il puisse se défouler sur eux plutôt que sur nous.
Et le petit démon s’est transformé en petit ange.
En vieillissant, Tomy a développé un lymphome digestif abdominal. C’est un cancer assez fréquent chez les chats. Il a été euthanasié en mai 2017. Il avait 16 ans.
L’équipe de Chez mes chats : quand tout a commencé…
Je ne pouvais pas vous présenter toute cette fabuleuse équipe de Chez mes chats sans vous parler également des deux minous avec qui j’ai grandi : Moustache et Phélie. Car c’est avec eux que cette grande aventure féline a commencé.
Tout d’abord Moustache
C’était un petit mâle très particulier. Il était arrivé tout seul chez nous pendant l’été 1992. On habitait une maison avec un petit jardin, juste à côté d’un bois.
Au début, on lui donnait un peu à manger dehors. Il venait tous les jours à la même heure.
Puis on a essayé de l’appeler à d’autres moments. Le gentil minou sortait tout de suite du bois et venait jouer avec nous. Il a fini par ne plus quitter le jardin malgré le chien qui gardait son territoire.
Il a décidé de s’installer avec nous. Et nous l’avons officiellement adopté.
Il était très affectueux et nous suivait partout. Quand on promenait les chiens, il venait aussi.
Nous l’avons gardé jusqu’à son décès en 1999. Il a dû être euthanasié car il souffrait d’insuffisance rénale. On ne connaissait pas son âge.
Phélie, mon tout premier chat
J’ai une pensée particulière pour elle. Elle arrivée le jour de mes 6 ans, en avril 1984. C’est l’un des plus beaux cadeaux d’anniversaire de ma vie : la famille adopte un chat !
J’ai été élevée dans le respect des animaux. Et Phélie n’était pas mon cadeau : un chat n’est pas un jouet. Je l’avais bien compris.
Au début, je n’ai vu qu’un carton plein de trous. Puis je l’ai ouvert et j’ai vu… un carton plein de trous.🧐 Le chaton avait bondi hors de sa boite pour aller se cacher derrière le canapé. Je n’avais même pas eu le temps de le voir.
Mais ce n’était pas grave. J’étais tellement contente. Une petite chatte allait faire partie de la famille. C’est tout ce qui comptait.
Il m’a fallu plusieurs jours avant de pouvoir enfin la voir véritablement. Encore un peu plus pour réussir à la toucher.
Et puis Phélie s’est transformée en « pot de colle ». Pendant 18 ans !
Elle aussi est morte de vieillesse à la maison, comme Miki. C’était en février 2002.
Et voilà, je crois bien que j’ai fait le tour !
Mais, au fil du blog, vous allez aussi croiser d’autres petites boules de poils. Celles qui m’ont accueillie quand j’étais enfant, pendant les grandes vacances (chez les chats de ma tatie 😸).
Ouvrez l’oeil 😉
Il ne reste plus que moi
Pour finir, je me présente donc rapidement.
Je m’appelle Lise et je vis en Provence, chez mes chats.
Je suis conseillère bien-être et coach en développement personnel. Je possède un site internet sur le bien-être : Etre bien, vivre bien au quotidien
J’exerce également une activité secondaire de rédacteur web en freelance (quand il me reste du temps !)
Mais si vous voulez en savoir plus sur moi, je vous invite à consulter ma page « A propos » sur Etre bien, vivre bien au quotidien. 🙂